Gouvernement

Secteur gouvernemental

Objectif et perspective

Le secteur des administrations publiques représente les sources de recettes publiques et la manière dont les dépenses publiques totales sont réparties entre les différentes utilisations possibles, sur la base d’identités comptables standard. Les dépenses sont organisées à la fois selon une classification macroéconomique (c’est-à-dire entre consommation, investissement et transferts) et selon une classification fonctionnelle (c’est-à-dire en fonction du type de service fourni). Le montant des dépenses pour l’éducation, la santé, l’agriculture, l’infrastructure et de nombreuses autres interventions (non représentées dans le diagramme pour des raisons de simplicité) représentent des variables politiques majeures que l’utilisateur peut définir comme suit % souhaité du niveau du PIB ou du per capita.

Les fonds alloués aux dépenses administratives et autres n’ont qu’un effet macroéconomique dans le modèle (ils affectent le niveau global d’investissement et de consommation), et n’ont aucun effet sur l’amélioration des services publics.

Structure du modèle et principales hypothèses

Variables d’entrée exogènes

  • Dépenses administratives et autres dépenses en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Dépenses d’agriculture en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Part de consommation des dépenses publiques - Unités : Dmnl

  • Dépenses d’éducation en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Dons en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Dépenses de santé en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Dépenses de protection des aires marines en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Autres revenus domestiques en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Dépenses adminstratives par habitant - Unités : Rlcu/(personne*Année)

  • Transferts et subventions par habitant - Unités : Rlcu/(personne*Année)

  • Dépenses de reboisement en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Salaires et traitements en pourcentage du consommation - Unités : Dmnl

  • Subventions et transferts en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Dépenses ciblées d’agriculture par hectare - Unités : Rlcu/(Ha*Année)

  • Dépenses ciblées d’éducation par personne d’âge scolaire - Unités : Rlcu/(Personne*Année)

  • Dépenses ciblées de santé par habitant - Unités : Rlcu/(Personne*Année)

  • Dépenses ciblées de protection marine par habitant - Unités : Rlcu/(Personne*Année)

  • Dépenses ciblées de reboisement par habitant - Units: Rlcu/(Person*Year)

  • Dépenses ciblées de protection terrestre par habitant - Units: Rlcu/(Person*Year)

  • Dépenses ciblées d’infrastructure de transport par habitant - Units: Rlcu/(Person*Year)

  • Dépenses ciblées de gestion de déchets - Units: Rlcu/(Person*Year)

  • Dépenses ciblées d’eau et assainissement par habitant - Units: Rlcu/(Person*Year)

  • Taxes sur les biens et services en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Impôts sur les revenus et les bénéfices en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Taxes sur le commerce international en pourcentage des importations - Unitès : Dmnl

  • Dépenses de protection terrestre en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Dépenses d’infrastructure de transport - Unités : Dmnl

  • Dépenses de gestion de déchêts en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

  • Dépenses d’eau et assainissement en pourcentage du PIB - Unités : Dmnl

Variables d’initialisation

Aucun

Détails du modèle

Comme le financement public est le résidu des comptes publics, il n’y a pas de limites explicites au niveau de dépenses que le gouvernement peut soutenir, et tout déséquilibre des comptes publics est toujours financé par des sources nationales ou étrangères.

Ce n’est pas le seul type de fermeture qui peut être utilisé dans le modèle : les niveaux de dépenses totales peuvent être résiduels, et le niveau de financement fixé à certains niveaux acceptables. Les deux types de fermeture présentent des avantages et des inconvénients différents.

Le premier type de fermeture laisse plus de liberté à l’utilisateur pour expérimenter différents niveaux de dépenses publiques. D’autre part, l’utilisateur doit continuellement surveiller que le niveau de financement et de dette généré dans les simulations est acceptable

Le second type de clôture offre moins de liberté à l’utilisateur pour déterminer le niveau de dépenses des différents postes : les dépenses totales sont automatiquement fixées pour respecter un certain niveau acceptable de déficit. Cependant, dans ce cas, l’utilisateur ne doit pas surveiller en permanence le niveau de déficit.

Notes et références

[1] International Monetary Fund (2014). Government finance statistics manual 2014. Washington, D.C.: International Monetary Fund.